Trump and Poutine relationship... L'Europe entre deux tours
- christophealexisbi
- 14 mars
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Dernière mise à jour : 15 mars
Cet article a été publié sur notre premier blog intitulé le blog de Persone sur la plateforme Overblog, le 10/11/2016
L'Amérique a 10 ans d'avance sur nous tous, dit-on stupidement depuis les années Sardou ! Pardon, je voulais dire l'aube des années 80, pour les jeunes poissons en bocal conditionnés au "futur de l'instant présent". En France, à l'époque où les cyniques et les moutons raillaient Jean Ferrat pour avoir repris les vers d'Aragon "L'avenir de l'homme est la femme", la génération du baby boom bossait galvanisée par "une certaine idée du progrès", chacun admiratif devant le projet Concorde et la gloire des trente glorieuses - en chantant Franco-américain ! Le trip des seventies et une redescente en pente douce - Tous unis pour la croissance industrielle et contre la crise de l'emploi... J'ai subitement des envies de vomir !
Le grand frère américain, c'est le symbole de la liberté, le leadership et 10 ans d'avance sur nous... "Oubliez le passé, the big show must go on !" - Bande de crétins mal finis que nous sommes... En tout cas pour ouvrir la voie à un autocrate mégalomane aussi médiocre, dans un pays patriotique qui se prend pour le shérif légitime de la "cité-monde", le système électoral américain a plutôt 84 ans de retard ! Rappelons que lorsque l'Allemagne a accepté un Néron au pouvoir, un dénommé Hitler, elle était défaite, humiliée, ruinée et endettée par tous ses détracteurs et intéressés sauveurs. Il me semble que l'Amérique profonde et l'Amérique des lobbies, qui ne font qu'un, avait une plus grande marge de manœuvre pour perpétuer son aura et justifier son leadership au sein du Nouvel Ordre Mondial (Un NOM qu'Hitler fut le premier à mentionner dans son discours à l'attention des peuples).
Quoi que...
Après les frasques d'un Bush junior, rattrapé par une crise occidentale du consentement et la théorie du complot, un président noir était idéal pour incarner l'impérialisme et porter discrètement ce que Rosa Amélia Plumelle appelle "La férocité blanche". Mais cela avait un prix : la grande désillusion et la confusion globale ! Un cauchemar pour tout philosophe ou historien qui se respecte, une nouvelle donne sur l’échiquier politique international... Et une aubaine pour tout concurrent "excentrique et inqualifiable" susceptible de porter à la fois les couleurs du protectionnisme, du nationalisme, du mondialisme, du futurisme, du néolibéralisme et du Grand Capital.
Quels choix s'offrent aux américains pour ces élections ? L'hypocrisie et les éternelles friandises de la main de fer dans un gant de velours face à la folie réactionnaire d'un self made man capitaliste, rompu au populisme... La glorieuse agonie en pente douce portée par la nouvelle génération prodigue du système bancaire ou l'aura d'un richissime agitateur de mouches en colère. Un choix auquel nous serons tous confrontés d'ici une petite saison chers français ! Nos agitateurs de mouches à nous ne sont pas réputés pour être des Crésus néolibéraux, ultra capitalistes et excentriques... Certes ! Mais gardons à l'esprit que le système bancaire a toujours de vilains petits jokers dans sa poche, que l'argent n'a pas d'âme et qu'à l'Est et au Sud, nos réactionnaires les plus aptes à faire vaciller "la vérité des vainqueurs de la seconde guerre mondiale", sont des pions politiques de premier choix.
Alors avant de juger l'Amérique et de juger quoi que ce soit, comme à notre grande habitude, jugeons-nous nous-mêmes !
Acceptons enfin nos responsabilités de gouvernants et de gouvernés concernant cette entité technocratique "too big to fail", cet Empire des sens et de la récompense mal acquise, que nous avons maçonné ensemble aveuglés par tant de "Lumières". Et pourtant, rien de nouveau sous le soleil... "Il serait temps de rendre à César ce qui lui appartient" - se disent (tout bas) les historiens les plus avertis. Cet empire "too big to fail" n'est qu'un étage de plus de notre tour de Babel, une tour qu'il nous suffirait de déconstruire par la pensée, non pour la saboter ou la voir s'effondrer, mais pour en reconnaitre ensemble les failles, les défauts de construction, et pour la réparer. Réparation, Repentir, Pardon, Partage, sont des notions qui peuvent réconcilier enfin la force forte et la force faible que nous avons instrumentalisées et mises en concurrence dans notre folie des grandeurs.
Parlons de fusion, du feu "sacré" qui fait la vie, et donc de l'énergie nucléaire qui maintient l'équilibre entre destruction et création :
Manipulée et séparée de son double, la force faible est celle des Rois Soleil, des Augustes (Octavius) dont la sensibilité mise à mal devient un facteur de despotisme dans un gant de velours. Il en va de même pour la force forte, qui sans son complémentaire devient un vecteur du protectionnisme et de l'autocratie, une main de fer qui se passe de tact et de toute idée de la compassion, une poigne et une machine de guerre qui écrasent sans vergogne toute forme d'innocence. Réunies et libérées des mains qui les manipulent, les deux forces pourraient caractériser un certain Naruto - qui n'est bien malheureusement qu'un personnage fictif d'une visionnaire BD japonaise. Conflictuelles et instrumentalisées, elles s'incarnent dans des personnage tels que Donald Trump (le Néron à la force forte ridicule) ou Emmanuel Macron (l'Octavius contrarié, la force faible susceptible de bouleverser les signes et les genres, d'abréger les souffrances de l'ancienne école et d'incarner un "centre absolu" au service du Capital - Capital dont le joker d'extrême droite a toujours été plus favorable que épouvantail d'extrême gauche). Les égyptiens avaient une vision très intéressante de ces forces nucléaires qui caractérisent autant les étoiles solaires que les trous noirs, autant le vide hypothétique (zéro) que le néant (domaine de l'impossibilité existentielle), mais leur contexte historique ne leur permettait qu'une approche métaphorique de ces dernières, une approche fondée sur la philosophie et l'observation des différentes interactions manifestées par l'esprit contenu et contenant la matière. Dans leur cosmogonie, la déchirure entre force forte et force faible engendre une opposition conflictuelle et destructrice entre ces forces que nous nommons de nos jours la sérendipité et la zemblanité : Osiris reflétant la première et Seth, la seconde. Chacun de ces deux êtres divins contient force forte et force faible, mais l'un est galvanisé par la puissance reconnue et admirée de la force forte et féconde, alors que l'autre, trahi, abandonné par le féminin et humilié, use de la puissance de décomposition de sa force faible pour assouvir sa vengeance sur son frère. Tout comme l'histoire d'Abel et Caïn dans la terminologie biblique, ce conflit fratricide caractérise la fracture, la perte de l'unité relative, la souffrance et l'état de guerre permanent.
Trump n'est que le président de tous nos manquements, de tous nos dénis, de tous nos échecs dialectiques confondus ! De toute l'hypocrisie dont la majorité d'entre nous a fait preuve depuis de nombreuses décennies ! Un nouvel empereur fou à l'image de nos complexes millénaristes, résultat de tous nos déterminismes verticaux et horizontaux... Le monde est déterminé, certes, mais les créatures incomplètes que nous sommes auraient dû rester respectivement à leur place avant de s'imposer mutuellement leur prétentieuses certitudes. Cela vaut pour l'homme, pour la femme, pour les frères, pour les voisins, pour les tribus, pour les royaumes, pour les nations, pour les empires - qui ne sont que pions, cavaliers, fous, rois, reines et tours, sur un échiquier dont ils n'ont pas la gouverne.
Gauche/droite - Ciel divin/enfer terrestre, ces 4 épouvantails formant la clôture du pré des moutons que nous sommes :
- Les deux épouvantails de la mort des imbéciles : Le paradis et l'enfer !
- Et les petits diables faisant la paire sur l'échiquier horizontal de "l'enfer" terrestre : le soft et le hard power. La gauche et la droite pour le soft et à leurs extrémités respectives : Le communisme rouge (la main de fer qui instrumentalise la revanche des vaincus) et le nationalisme (le joker des bourgeois suffoquant dans la soupe prolétarienne qu'ils n'hésitent pourtant pas à manipuler).
Si le rouge et le noir s'opposent avec tant de violence, c'est qu'ils se disputent la même mangeoire électorale.
Ironie du sort, paroxysme du confusionnisme et du chaos semé entre forces fortes et forces faibles, même les incompris, les sensibles, les homos et les personnes de couleur votent aujourd'hui pour les nationalistes ! Pourquoi ? Pour la rancœur, pour la trahison du gant de velours et pour le beefsteak bien entendu ! Par les temps qui courent, l'animal domestique humain est un esclave volontaire qui s'est habitué à l'opulence et à l'assistanat du Léviathan... Et il en veut pour son pognon, pour son sucre, pour sa récompense ! Un frigo vide et sans glaçons, pour des animaux de ferme qui se reproduisent comme des lapins à grands coups de césarienne, ça FAIT PEUR !
Trump n'est qu'un pion élu par défaut, rien de nouveau sous le soleil. Tout comme Hitler, qui en son temps voulut aussi accélérer le Nouvel Ordre Mondial.
"Nous sommes foutus, c'est comme ça et ça a toujours été comme ça" - disent les défaitistes, les neurasthéniques (...) ou les opportunistes qui jouent les incrédules alors qu'hier encore, ils suivaient indolemment la cadence, dansant le week-end en profitant des douceurs du progrès.
Trump n'est pas le diable, Diable qui n'existe pas ! Ni l'Antéchrist que beaucoup attendent sans comprendre de quoi il en retourne ou du double de qui il s'agit ! Comme je le disais en introduction, Trump n'est pas Hitler non plus... au mieux, il me fait penser à Néron... Oui c'est cela, à Néron. Moi je me marre ! Pas vous ? Shakespeare avait raison, les enfers sont vides, les (nos) démons sont ici.
Mais nous sommes foutus ou pas ?
Si vous insistez...
Pas si chacun accepte enfin la souffrance et le jugement qu'il mérite ! Pas si chacun affronte son Orgueil, enfin (!), vers un pardon qui ne concerne que notre intimité la plus profonde. Un pardon qui seul peut résoudre TOUS nos problèmes de politique intérieure et extérieure. Nos complexes de "partis pris" soient-ils politiques dans le sens littéral du terme ou le reflet de nos opinions individuelles et conflictuelles. Les extrêmes, les infinis et le milieu... Moins l'infini / moins 1 / 0 / plus 1 / plus l'infini ... Le chaos (le désordre) / le silence / la musique et l'alphabet (l'ordre) ... La compréhension du langage commence ici, tout comme la déconstruction du logos, dont l'instrumentalisation erratique à des fins particulières nous mène à notre perte, nous ramène ici... Ici et maintenant, après un long voyage en notre âme et conscience, qui comme celui d'Ulysse, peut nous avoir instruits sur notre Salut commun. Car cette mauvaise expérience du langage, par la corruption de l'orgueil et ses abus de pouvoir, est à l'origine de toutes les architectures (entités) physiques ou morales - soit disant "too big to fail" - qui nous emportent vers notre perte.
La plus petite chose au monde peut faire s'écrouler des montagnes ; d'une tête d'épingle la lumière voyage jusqu'à l'infini ! Une toute petite molécule peut tuer ou sauver un molosse ! Un simple mensonge peut anéantir à terme une tripotée de singes, une simple vérité peut lui rendre un avenir qu'elle ne méritait plus !
Soyez honnêtes, en Occident chacun s'en est plus ou moins sorti en évitant de parler des choses qui gênent et qui fâchent ! Chacun a fait son petit beurre et mené sa petite vie et profité du circuit de la récompense en profitant d'un "libre échange" dont indécence et l'hypocrisie déterminait pourtant un retour de bâton et le risque d'une nouvelle guerre globale. Une de ces avalanches de haine, de confusion et de violence qui n'épargne personne.
Des chiens ! Tous ! Pas des loups, non, de vulgaires chiens domestiqués ! De vulgaires singes pour être exact, des singes pas comme les autres, des singes savants, alphabétisés, conditionnés et dupés par leurs propres talents. Et pour être plus précis : dupés par l'expérience des pouvoirs particuliers que leur procure la "maîtrise puérile" du log et du logos. Je m'excuse auprès des singes et des chiens pour mon petit écart de langage !
Je nous insulte ? OUI !
Pour que chacun réagisse ! Réagis bordel - Réagissons - Réagissez ! De préférence sans agitation, sans nourrir le marché de l'action... Libérons la réaction de ses actionnaires et offrons lui le bénéfice de la réflexion !
Lorsque chacun aura compris à quel point nous-nous sommes tous dupés et fourvoyés, lorsque chacun assumera la relativité de notre libre arbitre dans un onde déterminé et lorsqu'ensemble nous aurons déconstruit nos langages et réparé nos architectures infernales, l'heure de la cacophonie populaire, de l'accord tacite et du chaos cultivé au nom de l'ordre, aura enfin sonnée ! Une histoire d'éducation en SOMME, une affaire urgente... Voilà qui tombe à point nommé pour nous qui aimons tant nous affairer... Je me trump ? Enseigner pour libérer, enseigner pour soigner, enseigner pour guérir et non pour conditionner.
La guerre est à nos portes ! Voilà qui va nous faire oublier la question du consumérisme et les discours écolos qui nous sapent le moral... Tout comme le fanatisme écologique peut nous faire oublier l'origine du consumérisme et avec lui, une guerre qui n'en finit pas depuis l'Antiquité ! Tout comme le coup d'éclat médiatique d'un célèbre djihadiste, qui n'était qu'un pion sur l'échiquier politique international, peut nous faire oublier notre corruption suicidaire, le temps d'une morbide catharsis nationale ! Cochons du dimanche que nous sommes.
La guerre est à nos portes ?
Soulevons ensemble le voile de l'hypocrisie et arrêtons-là !
Loin de toute idée de la puissance, loin de l'arme dissuasive, c'est lorsque l'Ennemi n'aura plus aucune raison de nous détruire de l'intérieur ou de l'extérieur, que l'art de la guerre sera enfin maîtrisé par notre savante humanité.
Épilogue :
Quelques symboles :
Dans le cercle vicieux du mensonge, l'hypocrisie est ce qui rappelle la Némésis du maître et de l'esclave à son devoir : la régulation. La Némésis reflète le sort, la menace, l’ennemi intime qui ne vous lâche jamais. Némésis pour les grecs, Invidia pour les romains, elle symbolise l'avantage injuste de ce qui nous mène à notre perte malgré nos efforts. Derrière les métaphores et la personnification, elle représente le grand complexe de l'Homme concernant le libre arbitre, la détermination du monde et la causalité : d'une part le plan causal relève d'une échelle qui dépasse l'individu - autrement dit même nos choix sont conséquences de causes qui ne sont pas nécessairement de notre fait et la "force du destin" n'épargne pas plus les justes que les ordures - et d'autre part les choix de chacun influent sur ce plan causal. Cette double nature des "choses" est ce qui motive les enseignants et autres philosophes à libérer notre esprit des forces qui le conditionnent en apprenant à les reconnaître. En d'autres termes à nous guider vers une certaine sagesse, vers une responsabilité de nos actes dans un monde déterminé, malgré le poids de toutes les injustices que nous ne pouvons contrôler.
Bien que l'Histoire se répète et se répète encore, maîtres et esclaves sont toujours bien surpris de se voir au même banc des accusés, devant la force du destin et la grande faucheuse !
Revenons à nos moutons, nos vaches, nos porcs et nos dindons :
La rudesse, l'ésotérisme, l'ignorance et l'argent ont fait la puissance et l'élection d'Hitler !
L'opulence, le New-Age, la médiocratie et le Dieu de l'argent ont fait Donald !
Et la simplicité dans tous nos complexes ? Et l'homme, la femme, l'enfant - dans tout ça ??? L'unité, la dualité, la relativité, la quadrature... Mathématiques ou sémantiques ? Les deux peut-être... Zéro et Dieu existent-ils ?Des réponses ou de fructueuses dérobades ? Nous sommes civilisés, modernes, matures, scientifiquement raisonnables et responsables ? Plus intelligents que par le passé... Vous en êtes certains ?
Notre Némésis est en nous-même et elle se caractérise par le cercle vicieux de la révolution permanente au nom de laquelle nous-nous entretuons globalement, dans des cycles de plus en plus courts et avec des armes de plus en plus destructrices. Une boucle dans laquelle nous-nous enfermons mutuellement, dans laquelle notre esprit est stagnant et dégénérescent, tandis que l'objet précieux du pouvoir augmente en puissance et que l'évolution des architectures matérielles nous procure l'illusion d'un progrès positif et d'une temporalité linéaire.
Dites-moi, pour faire la paire avec un Donald... Un nouveau petit père du peuple avec un gant de velours et rompu au capitalisme, ça vous dirait ? Un Poutine par exemple... Contre toute attente... Farceurs que nous sommes !
Parlons un peu des "Terres du milieu"... Et d'une menace venant de l'Est
L'Europe entre deux tours :
La plupart des amateurs de J. R. R. Tolkien ont assimilé la seconde guerre mondiale à la bataille du Seigneur des anneaux... A tord ! Il s'agissait de la bataille des cinq armées ! Le dragon et son souffle de feu destructeur (le retour de flamme d'une croissance technologique mal acquise) - les nains maudits par l'Arkenstone, qui retrouvent Erebor après une longue errance (les conditions d'un retour en terre promise qui traduisent toute l'ambiguïté de la déclaration Balfour) - L'effritement des terres du milieu (Europe prise dans les tenailles des forces de l'Ouest corrompues et d'un mal banni à l'Est) - Le poison qui affaiblit le roi du Rohan (le sucre néolibéral pour séduire les pays frontaliers qui bordent l'Ouest de la Russie), l'incontestable puissance de Saruman, qui trahira pourtant ses alliés dans "Le seigneur des anneaux" - Saruman le séducteur, dominé par son amour propre et qui deviendra Trump... Mmmh pardon, qui deviendra fou, un fou qui s'alliera à la puissance reconstituée à l'Est avec les fragments de toutes les haines que nos bonnes consciences ont semées depuis le découpage du monde par la vérité des vainqueurs !
Je comprends que Tolkien se soit toujours insurgé contre les pâles interprétations dont les intellectuels de salon et autres puritains du monde entier (à tendance xénophobe) ont affublé son œuvre !
Dans la vision du philologue, notre numérotation des "guerres mondiales" prend en compte un passé quesérendipité nous imaginons lointain... Néanmoins, du point de vue de nos millénarismes, la seconde guerre mondiale s'étale de 1914 à 1945 (période de Bilbo le Hobbit), la première correspondant aux guerres puniques ayant scellé le destin des Grands Empires méditerranéens dans le sang et le stupre, dans la traite des hommes, des femmes et des enfants !
Dans un monde de sacrificateurs arrivistes, lâches et stupides, le progrès devient vite une croissance exponentielle suicidaire... Il était évident que d'aller de la seconde à la troisième guerre (celle qui s'annonce dans notre réalité et celle décrite dans "Le seigneur des anneaux" nous prendrait à peine le temps de dire "merde alors", comparé aux deux millénaires qui ont séparé les deux premières !
Acceptons donc de mourir moins cons ! Le seul choix aujourd'hui qui nous permettra de sauver nos enfants de nous-mêmes !!!
Nous sommes tous Frodo Baggins ! L'enfant à l'adolescence foudroyante, portant l'anneau.
CAB & HC Black's
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