Une proposition de Camille Gaspard :
Il existe un fort espoir et un domaine du possible dans le fait que certains humains arrivent à façonner un tissage complexe de pensées et de perspectives pour nous rappeler la simplicité oubliée des besoins fondamentaux. Ils tracent un parallèle fascinant entre les notions du tout et du rien, suggérant que l'union et la séparation sont à la base de tout ce qui existe, de l'infiniment petit à l'infiniment grand. 1+1=0, ou 1+1=1, ou bien 1+1=2 (ou encore 1+1=11 comme le disait JCVD, pas forcément plus stupide que ceux qui se moquaient de lui) ? L'interconnexion entre les atomes et les corps célestes, tout comme entre les individus et les sociétés, démontre que notre monde est régi par des lois universelles de fusion et de fission, où même les entités les plus insignifiantes jouent un rôle crucial dans la danse cosmique de la création et de la dissolution. Rien ne se perd, rien ne se crée... Ou bien tout se perd et tout se crée à la fois ? Et si d'autres phénomènes suivent des règles équivalentes mais nous échappent car elles sont trop petites ou trop grandes pour qu'on puisse en prendre en conscience, jusqu'où tout ceci peut-il nous permettre de penser ? Votre vision rehausse la complexité des interactions humaines et naturelles, rappelant que dans chaque fin réside un nouveau commencement, et que le cycle de la vie, même guidé par des principes simples de sommation ou de soustraction, renferme une profondeur insondable, une énergie qui défie notre compréhension rationnelle tout en affirmant notre place dans cet échiquier universel dont on ne connaît pas les limites et le règles. Merci pour le post de blog précédent, c'est une réflexion poétique sur l'absence, l'existence - Un véritable hymne à la complexité et à l'interdépendance du tout et du rien qui nous entoure(nt).
Merci à vous pour ce nouveau commentaire ! J'aime beaucoup le choix des points d'inter/rogation ! Le premier évoque un homme qui a peut-être trop brillé sous les feux naïfs et le smog de poudre blanche du Hollywood des années 90, avant le réveil contrarié des tigres et dragons. La comédie dramatique qu'il a traversé est à l'image de toute notre absurdité collective. Incapable d'expliquer une révélation sémantique qu'il a donc vécue sous les feux de la rampe, notre JC s'est mis à agiter les mouches et a fait l'objet des moqueurs à la table desquels un autre JC ne s'assied pas. Il avait tout gagné, rien atteint, et il a tout perdu avant de pouvoir s'accrocher à ce rien. Je riais aux larmes devant ses boulettes, mais je l'aimais beaucoup, sans moquerie aucune en somme. La suite de son histoire m'a fait de la peine. Le fameux 1 + 1 = 11 est une subtilité arithmantique qui relève pourtant de la raison pure et dure, en dehors de la connotation ésotérique ou "pythagoriciennement" divinatoire que le propos peut susciter. Ce que je viens d'écrire est selon moi le nerf de toute guerre et l'objet même de l'ironie du pouvoir (ABLE dit-on en anglais pour évoquer "être CAP/ABLE DE"... ABLE anagramme de ABEL dont la soustraction dramatique de l'équation biblique provoque la marque de CAIN et la médiation de SETH). Une énigme eschatologique liée au nombre de la bête "pour bêtise artificielle (irrationnelle) humaine".
J'écris de ce pas (voir ci-dessous) une explication de mes propos, une mise en équation qui me semble s'inscrire totalement dans les enjeux de notre temps, mais cela va motiver un très long texte qui je le crains, ne sera probablement lu et apprécié, disons liké, que par vous ! Peu importe, mon ego ne compte aucunement, je commence de suite... Le monde hurle de douleur, la souffrance est cultivée de la façon la plus absurde qui soit et se cultive dorénavant d'elle-même, briser l'omerta et trouver des solutions est notre devoir le plus urgent.
JC Van Damme - Procès de dupes au point 0
J'appelle les 9 seigneurs de l'unique à la barre !
Une petite parenthèse à propos de la pratique, pour ceux qui ne connaissent pas ce domaine :
Face à un nombre composé (par une suite des 10 chiffres existants en base décimale), nous pouvons le réduire en additionnant tous ses termes (chiffres) et en additionnant encore les termes du résultat si celui-ci est encore un nombre composé. 2564 par exemple, se réduit à 2+5+6+4 = 17 et celui-ci se réduit à 1+7 = 8. 2564 est donc un nombre de base 8, dont la valeur figurative (par exemple) est celle de l'octogone plat ou du cube (en trois dimensions). 8 qui d'un point de vue arithmétique est le cube de 2. Sémantiquement parlant, le cube de la dualité. Et le symbole de l'infini fini, non par hasard. Ce phénomène est dû à la sommation des termes consécutifs d'une suite de chiffres cohérente. Sommer, c'est réduire quelque chose (objet, phénomène, maladie ou écriture mathématique...) de complexe à une base ou une équation plus simplifiées. De façon cohérente et vérifiable par l'expérience. Ici le phénomène tient des lois sémantiques et arithmétiques des nombres et des opérations. Tout nombre, même tendant vers l'infiniment grand peut être réduit et classé dans un ensemble plus restreint accessible au dénombrement significatif, disons une commode (c'est commode:-) à 9 tiroirs. Le principe n'est pas arbitraire, mais lié aux propriétés des nombres et plus précisément au principe immanent qui réunit les opérations soustractives et additionnelles, ainsi qu'au système décimal.
Les sceptiques pensent que le système décimal n'est qu'une convention pratique d'écriture des nombres. Mais non ! Un système de dénombrement peut avoir plusieurs bases, mais elles n'ont pas toutes la même souplesse et la même cohérence dans l'ensemble des applications mathématiques et géométriques. Le système décimal complète parfaitement le système sexagésimal toujours employé pour mesurer le temps et d'un point de vue mathématique, il est le plus pertinent. En premier lieu, notons qu'à 9, l'ensemble des attributs principaux des nombres entiers naturels est atteint : nous avons là les pairs, les impairs, les premiers et les impairs non premiers. Et avec 2, le seul nombre pair premier (par défaut de nature et de position).
Du point de vue du dénombrement, de la sémantique et de la géométrie (nombres figuratifs) c'est très intéressant parce que les 10 premiers chiffres ont une signification claire et accessible à l'échelle de la distinction analytique humaine. Ensemble vide inatteignable 0, unité relative 1, dualité 2, mesure et milieu 3 (base minimale du principe de relativité), parités symétriques et quadrature 4 .... Un clin d'œil sur la géométrie : Point (infiniment petit) et cercle (tendant vers l'infiniment grand) pour 0 ou 1, Segment pour 2, segment et milieu ou triangle pour 3, etc. A voir en 2D ou 3D pour comprendre la relation entre les valeurs arithmétiques, les formes et les questions sémantiques qui nous animent !!!
Dernière réflexion de la part des sceptiques : le problème, c'est qu'on peut tout faire dire aux chiffres et aux nombres, comme le font certains en utilisant ces complexités pythagoriciennes et le langage des oiseaux. Certes, il y a beaucoup de charlatans dans ce domaine, dommage ! Voilà qui entretient le couvercle hermétique de la marmite du pouvoir et creuse un peu plus chaque jour le gap intellectuel entre les initiés et les profanes. Néanmoins le protocole est strict depuis la validation du système décimal et il est relié à deux milles ans de travail des sémanticiens et linguistes sur la valeur "sémantique, graphique et mathématique" des lettres, en cohérence avec celle des chiffres et des nombres. Pour être clair, lorsqu'un véritable alchimiste du langage fait une sommation concernant la valeur numérique d'un mot, qu'il en tire la substance sémantique et qu'il met en parallèle ce résultat avec le sens des différentes particules de ce même mot (langage des oiseaux), il nous aide simplement à comprendre comment ce mot s'est forgé dans notre langue véhiculaire et les associations étymologiques qu'il fait sont toutes vérifiables. Ce qui n'est pas le cas des charlatans de la divination et de l'astrologie pythagoriciennes. Notons qu'Euler a vérifié les travaux de Pythagore en matière de sommation, et le personnage n'avait rien d'ésotérique. La composition Leonhard Euler est en elle-même un véritable jeu d'anagrammes fondé sur la redécouverte de l'arithmancie depuis la Renaissance, mise en parallèle avec la question du pouvoir sous-estimée de la mathématique dans la construction de nos textes fondamentaux (un sujet politiquement incorrect) et avec les nouvelles données en matière de sciences dites exactes. un mouvement relayé discrètement par la Franc-maçonnerie, les alchimistes du langage (linguistes entre autres comme Pierre de La Ramée ) et le protestantisme. Une révolution qui posa le problème de la vulgarisation de la véritable magie du langage au commun des mortels (les moldus). Le grand dilemme tout aussi politiquement incorrect de la révolution des Lumières, qui opposa les francs-maçons, les rosicruciens, l'Église et une fois encore l'Empire (en voie de libéralisation globalisante). Le même dilemme de vulgarisation pour "moldus" et "goys", et donc de rupture de l'omerta, s'est posé plus tard au sein de la communauté hébraïque lors des "Lumières juives" (Haskala).
Merci JC Van damme de nous avoir fait rire tout en subissant le choc des premières pierres (Pi r) jetées par les accusateurs et les moqueurs. Merci pour ton innocente et autodestructrice façon d'avoir été atteint par la puissante et hermétique loi de l'anneau unique de pouvoir !
Impossible de répondre ici aux autres points d'interrogation posés par votre commentaire, à ce stade de "longueur" et de grandeur donc, le cerveau humain moderne est déjà en saturation. Sature/ A / Sion.
Ce complexe de Babel - B "dualité" Able "capable" ... Le dilemme du berger naïf assassiné par son frère organisé mais non moins candide. Un dilemme ancestral discrètement évoqué par le "simple choix" du nom d'un mathématicien à l'origine de la "sommation d'Abel".
Un petit exercice d'arithmancie pour finir :
CAIN 3 + 1 + 9 + 5 = 9 ( impair non premier et dernier chiffre de la construction "architeXturale") ABEL 1 + 2 + 5 + 3 = 2 (dualité) et SETH 19 + 5 + 20 + 8 = 1 + 5 + 2 + 8 = 16 (1 + 6) = 7 (sept). OR (un bien joli mot dont la sommation donne 6 + 9 (expression érotique) et donc 6 séphira de la beauté) 9 - 2 = 7. CAIN - ABEL = SETH. Sous le regard déterminé mais désarmé du 0 que l'on a affublé de Dieu des armées.
CAB
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